Vous trouverez ci-dessous des informations générales sur les principes de la construction bois.
Vous pouvez également consulter le site du prix national de la construction pour découvrir une multitude de bâtiments en bois construits en France :
Construire en bois pour choisir la performance et préserver l'environnement
Le choix de l’environnement et d’un matériau performant
Outre pour ses qualités environnementales, choisir le bois pour son habitat, c’est choisir un matériau esthétique, résistant, innovant, sain, chaleureux et performant. Utiliser le bois dans la construction n’impose pas de limites particulières et il permet de laisser libre cours à son imagination. Le bois permet toutes les audaces.
Un matériau naturel et renouvelable
Le bois est le seul matériau de construction 100% renouvelable dans la mesure où il provient de forêts gérées durablement. De plus, durant sa croissance, un arbre consommera 1 tonne de CO2 pour produire un mètre cube de bois. Cette capacité à piéger le CO2 permet de compenser les émissions de gaz à effet de serre produites lors de sa transformation. Les émissions de gaz à effet de serre peuvent être également limitées en faisant le choix de bois exploités, transformés et utilisés localement. En fin de vie le bois peut être réutilisé, être recyclé et revalorisé dans d’autres filières (production de panneaux, d’isolants, de papier ou de bois énergie).
Un matériau performant pour un habitat sain
Le bois est un matériau naturel permettant de tout envisager sous condition d'une mise en œuvre répondant à des exigences de qualité particulières.
Un matériau laissant libre place à la créativité : la variété des essences et la multitude des procédés de transformation permettent aujourd’hui toutes les audaces en architecture et en aménagement intérieur ou extérieur.
Un matériau pérenne : le bois est utilisé dans la construction depuis des siècles, voire des millénaires. De nombreux bâtiments peuvent en témoigner à travers le monde. À l’intérieur, le bois ne demande aucun entretien particulier. À l’extérieur, il vieillira en se patinant avec le temps. Le bois ne sera pas dégradé, seul son aspect changera.
Léger et résistant : le bois est un matériau souple, léger et résistant. Une poutre en bois de 3 m de portée et capable de supporter 20 tonnes pèsera 60 kg en épicéa, 80 kg en acier et 300 kg en béton. Cette légèreté permet de réaliser des fondations moins coûteuses. Il n’est pas rare que le bois soit la seule solution constructive économiquement viable sur certains sols.
Résistant au feu : le bois a une combustion lente et il faut deux heures pour détruire un poteau de section 16 x 16 cm. Lors d’un sinistre, cela permet d’assurer la tenue des structures pendant l’évacuation. Le bois est de plus en plus utilisé pour les bâtiments agricoles car il permet de sauver le bétail et le matériel en cas d’incendie. De plus, la combustion du bois ne produit pas de gaz toxiques. Un atout qui prend toute sa dimension quand on sait que l’asphyxie est la première cause de mortalité en cas d’incendie.
Un matériau économe en énergie : aucun autre matériau n’exige aussi peu d’énergie pour sa production. De plus, sa faible conductivité thermique et sa faible inertie lui permettent d’être adapté à la construction de bâtiments à forte efficacité énergétique.
Un matériau polyvalent : le bois a de multiples usages dans la construction. Il peut se retrouver en structure, en aménagement intérieur et extérieur, en revêtement extérieur, dans les menuiseries et huisseries.
Économique : construire en bois ne revient pas plus cher qu’avec d’autres matériaux. En effet, dès les travaux de fondations, les coûts sont réduits en raison du faible poids d’une maison bois. La préfabrication des éléments en atelier permet aussi de diminuer les frais. L’intégration d’une partie de l’isolant dans l’épaisseur des murs permet d’augmenter la surface habitable.
Un chantier rapide : une maison en bois est élevée sur un chantier sec. La construction est très rapide grâce à la préfabrication en atelier. Cela induit également une réduction des déchets sur le chantier et moins de nuisances pour le voisinage.
Un matériau sain : le bois est un matériau qui participe à l’hygiène de vie dans la maison. Utilisé en parquet par exemple, pour les revêtements de sol des chambres et pièces à vivre, il ne retient ni poussières ni particules allergènes et permet donc de vivre dans un environnement plus sain.
Le matériau bois et ses dérivés : quels usages ?
Bois massif structurel, bois rond, bois abouté, bois massif reconstitué, bois lamellé-collé, poutres composites, panneaux..., cette liste non exhaustive illustre la diversité des matériaux de construction en bois ou dérivés du bois. Ces produits offrant chacun des caractéristiques particulières, ils permettent d’élever efficacement des bâtiments aux architectures les plus variées.
Les bois de structure
Les bois massifs structuraux sont des pièces de bois scié entrant dans la constitution d’un ouvrage et ayant comme fonction principale la résistance aux sollicitations appliquées à cet ouvrage.
Les bois ronds structuraux s’utilisent essentiellement pour la construction de bâtiments composés de rondins empilés et de bâtiments agricoles.
Le bois lamellé-collé est un élément structurel obtenu par collage de planches de bois. Il permet de façonner des poutres de formes complexes et de grandes longueurs.
Le bois contrecollé est l’association par collage à plat d’un nombre impair de planches de bois massif.
Le bois abouté est l’association par collage bout à bout de deux ou plusieurs planches de bois.
Les poutres composites sont composées d’une membrure en bois ou en matériaux dérivés et d’une âme en bois, en panneaux dérivés du bois ou même en métal. Ces poutres sont principalement utilisées en solivage, pannes, chevrons ou en poteaux d’ossature.
Les panneaux
Les panneaux OSB (Oriented Strand Board) sont constitués de grandes lamelles orientées et liées entre elles par collage. Quatre types de produits (OSB1, OSB2, OSB3, OSB4) sont déclinés en fonction des résistances attendues à l’humidité et à la flexion.
Les panneaux de contreplaqué sont constitués d’un empilage impair de fines plaques de bois fixées entre elles par collage. Les fibres de chaque placage sont orientées perpendiculairement à celles des placages voisins.
Les panneaux de particules sont obtenus par collage et pressage de petites particules de bois (copeaux, sciures…).
Les panneaux de fibres utilisent les fibres obtenues par broyage puis feutrage des bois. Il existe quatre grands types de panneaux de fibres : tendres, moyennes densités (MDF), durs et extra-durs, qui se prêtent à tous les usages.
Durabilité et traitement du bois
Le risque d’attaque du bois par les champignons ou les insectes xylophages est directement lié à l’humidité du bois. Les bois utilisés en construction doivent donc être protégés d’une exposition à l’humidité de longue durée. il faut aussi s’assurer que la durabilité des bois mis en œuvre est compatible avec l’usage que l’on en fait.
Quelle que soit son utilisation, chaque essence aura une durée de vie plus ou moins importante selon son exposition aux agents climatiques et sa durabilité naturelle. La durabilité naturelle est variable en fonction des essences. Lorsque celle-ci est insuffisante par rapport aux risques encourus et à la durée de vie attendue, seule l’application d’un traitement de préservation peut assurer la protection nécessaire lorsque le bois est suffisamment imprégnable. On parle de durabilité conférée.
Les procédés d’application de surface : le traitement s’effectue en surface par aspersion ou par trempage par des produits contenant des molécules actives qui resteront en surface. Ces procédés permettent au produit de traitement de pénétrer dans le bois par capillarité. Lorsque le bois doit être retaillé, la solution de traitement doit être appliquée au badigeon sur les coupes.
Les procédés d’imprégnation dans la masse : pour assurer une meilleure durabilité, les bois sont traités par autoclave (imprégnation en partie ou en totalité de l’aubier). Le principe consiste à saturer de produit toutes les cellules du bois.
Le traitement thermique des bois : BMT®, Bois rétifié® et Thermowood® sont autant de marques ou de termes pour désigner le traitement thermique des bois à haute température. Quel que soit le nom donné à cette transformation, le principe de base est le même : chauffer du bois à haute température sans ajout de produits de synthèse pour en modifier la composition chimique. Les conséquences directes de ce type de traitement sont une augmentation de la durabilité naturelle des bois vis-à-vis des attaques de champignons et d’insectes, une meilleure stabilité dimensionnelle des bois et une modification de la couleur dans la masse. En revanche, le traitement thermique des bois diminue certaines propriétés mécaniques ce qui limite l’utilisation de ces produits à des usages non structurels (bardage, lame de terrasse, parquet, menuiserie…).
L’oléothermie® (ou thermo-huilage) : ce procédé de traitement naturel est à base d’huiles végétales chauffées à basse température. La technique la plus répandue pour le moment est la bi-oléothermie qui consiste à plonger le bois dans deux bains d’huiles successifs à des températures différentes. Les huiles chaudes pénètrent dans le bois et prennent la place de l’eau qui s’est évaporée. L’huile a pour effet de rendre le bois plus stable, hydrophobe et moins sujet aux attaques de champignons et d’insectes.
Des bois locaux et durables
La Bourgogne-Franche-Comté possède des essences de bois naturellement durables (hors aubier) : douglas, chêne, robinier et châtaignier. Ces bois peuvent être utilisés pour des usages intérieurs ou extérieurs comme le bardage, le platelage ou les éléments paysagers. De plus, des traitements comme le traitement thermique permettent de rendre certaines essences résistantes aux attaques de champignons et insectes (hêtre, peuplier...).
Les procédés constructifs
Ossature bois
Elle est composée d’un ensemble de montants et de traverses dont les cavités sont remplies avec un isolant. Sur le chantier, il ne reste plus qu’à assembler les éléments préfabriqués.
Poteau-Poutre
Ce système constructif repose sur de fortes sections de bois. Ces poteaux et poutres sont espacés de plusieurs mètres. Ce type de structure permet de dégager de grandes ouvertures afin d’y installer des baies vitrées. Ce système permet également une grande souplesse architecturale.
Panneaux massifs
Ce système constructif est en plein développement. Il s’agit de grands panneaux constitués de planches croisées et collées entre elles (ou parfois clouées). On parle alors de panneaux massifs contrecollés (ou contrecloués). Ces panneaux peuvent être de grandes dimensions (jusqu’à 22 mètres de longueur). Ce système permet d’améliorer l’inertie thermique du bâtiment et facilite la pose d’une isolation par l’extérieur.
Bois empilé
Ce système met en œuvre de longs éléments de bois s’emboîtant horizontalement les uns sur les autres. Ces bois empilés offrent le choix entre deux aspects : des madriers à sections rectangulaires ou des fustes (rondins) à sections rondes.
Isolation de l’enveloppe
L’utilisation du bois dans la construction participe aux performances thermiques d’un bâtiment mais il est primordial de ne négliger ni l’isolation, ni l’étanchéité à l’air de l’enveloppe. Le choix et la pose soignée d’isolants et de menuiseries extérieures de qualité permettront de réduire les besoins énergétiques, tant en chauffage qu’en climatisation.
Privilégier la performance de l’isolant
La qualité de l’isolant joue un rôle déterminant dans la performance de l’enveloppe. Il faut donc bien le choisir. Pour cela, il faut vérifier son indice de résistance thermique matérialisé par un R. Plus l’indice est élevé, plus le matériau est isolant. La performance de l’indice est fonction de l’épaisseur et de la conductivité thermique du matériau. Pour une efficacité optimale, il faut privilégier des isolants compacts pour les murs afin de les empêcher de se tasser et de créer des ponts thermiques.
Une maison bien isolée, c’est aussi l’assurance d’une qualité de vie intérieure. Un mur mal isolé aura ses parois intérieures froides et rayonnera peu la chaleur ambiante, provoquant une sensation d’inconfort. Une paroi bien isolée permettra d’avoir une température de paroi stable. Une bonne isolation permet également de maîtriser le temps que va mettre la chaleur pour se déplacer au travers des parois. L’isolant peut aussi améliorer l’isolation phonique.
Ne pas négliger l’étanchéité à l’air
Des fuites et entrées d’air non maîtrisées ruineront les performances de l’enveloppe. L’étanchéité à l’air influence directement cinq enjeux fondamentaux : la qualité de l’air intérieur, le confort thermique et acoustique, la facture énergétique, la conservation du bâti et enfin la sécurité des personnes à proximité de sites industriels SEVESO. Assurer un bon niveau d’étanchéité à l’air, c’est être capable de maîtriser les flux qui circulent à travers des orifices volontaires (bouches de ventilation et entrées d’air) tout en limitant les flux incontrôlés, sources potentielles d’inconfort, de pathologies et de gaspillage d’énergie. Il n’est bien évidemment pas question de confiner les occupants de la maison dans un sac plastique mais au contraire de leur procurer un air de qualité et en quantité suffisante.
Conserver une bonne ventilation
La ventilation est vitale pour le bon fonctionnement de l’enveloppe. Elle permet d’évacuer l’humidité, la vapeur d’eau et la pollution générée par les habitants du foyer. Dans le cas d’une maison basse consommation, on utilise un pare-vapeur placé contre la dernière couche d’isolants afin d’éviter tout risque de condensation à l’intérieur des parois.
Assurer une pose de qualité
Les performances d’une enveloppe bien conçue dépendront directement de la qualité de sa mise en œuvre. Pour des bâtiments performants, il est utile de contrôler la qualité de l’étanchéité à l’air une fois le clos couvert achevé. Des fuites détectées une fois le bâtiment achevé peuvent être complexes (et coûteuses) à corriger.
Les menuiseries extérieures
Les menuiseries extérieures en bois participent à l’enveloppe du bâtiment en assurant l’éclairage des locaux et contribuent à l’esthétique et à l’architecture d’une façade. De plus, des menuiseries en bois sont en mesure d’assurer une bonne étanchéité.
La fenêtre bois
Très isolante, la fenêtre bois garantit une absence de ponts thermiques. Elle est aujourd’hui profilée en lamellé-collé afin de réduire les risques de torsions et de fissurations. Également source de confort et de bien-être visuel, la fenêtre bois se veut aussi utile que décorative et peut ensuite être lasurée, vernie ou peinte.
La fenêtre bois-aluminium
La fenêtre bois-aluminium est une alternative intéressante à la fenêtre bois. Comme cette dernière, elle se plie à toutes les envies. À l’intérieur, le bois contribue à une ambiance chaleureuse et s’adapte à la décoration. À l’extérieur, l’aluminium offre l’avantage de supprimer tout entretien.
La réglementation thermique
L’entrée en vigueur de la RT 2012 a bouleversé les performances minimales requises d’un bâtiment neuf. Les exigences de performance énergétique globale sont exprimées en valeur absolue de consommation. Le chiffre à retenir : 50 kWh/m²/an, ce qui est trois fois moins important que pour l’ancienne réglementation (RT 2005) : ces exigences minimales imposent de traiter les ponts thermiques et d’imperméabiliser à l’air les logements neufs. Il peut parfois être nécessaire d’avoir recours aux énergies renouvelables.
Performances thermiques et énergétiques
Tous les bâtiments neufs doivent être conformes à la réglementation thermique 2012 (RT 2012) depuis le 1er janvier 2013. Ceci implique la généralisation des maisons dites “basse consommation” et d’être vigilant aux points suivants :
• être ouvert au soleil afin de profiter au maximum de la luminosité et des apports calorifiques naturels ;
• renforcer l’isolation des parois pour bénéficier de bonnes performances thermiques ;
• traiter impérativement les ponts thermiques ;
• choisir des fenêtres performantes tant pour limiter les déperditions thermiques que pour faciliter l’installation de grandes surfaces vitrées, sources d’une meilleure luminosité ;
• assurer une bonne étanchéité afin d’améliorer la qualité de l’air intérieur et de réduire les besoins énergétiques ;
• privilégier une bonne ventilation ;
• s’équiper de matériel de chauffage neuf et performant pour diminuer davantage la consommation énergétique.
Bardages et revêtements extérieurs
Mis en œuvre correctement sur les murs extérieurs, le bardage remplit deux fonctions :
- il protège la construction des intempéries,
- il l’habille et l’enveloppe du style choisi par ses occupants.
Les bardages sont principalement en bois massif : douglas, épicéa, mélèze, chêne, bois traités thermiquement... Le choix est multiple et sera soumis à l’aspect extérieur voulu. Néanmoins, tous doivent correspondre à la classe de risque 3 attestant d’une bonne résistance face à un taux d’humidité fréquemment supérieur à 20%. Il est à noter que les bardages en bois massif sans finition auront une tendance naturelle à griser avec le temps, un rendu esthétique qui n’entrave en rien les qualités mécaniques du bois.
Le bois naturel non traité requiert une essence résistante et réclamant peu d’entretien, des caractéristiques que proposent naturellement le douglas, le mélèze ou le chêne. Choisir du bois qui a été traité permet d’utiliser des essences naturellement non durables comme le peuplier, sapin, pin sylvestre, hêtre ou épicéa par exemple.
Les bardages peuvent aussi être peints, vernis ou huilés. Ils se déclinent alors dans une large gamme de couleurs qui ralentira le processus naturel de grisaillement tout en limitant l’entretien extérieur (15 ans en moyenne).
Il est aussi possible d’utiliser des bardages en bois composite, fabriqué à partir de particules de bois généralement amalgamées avec de la résine de polymère.
Une mise en œuvre flexible et aisée
La pose d’un revêtement extérieur en bois constitue ce qu’on appelle “un chantier sec” et n’impose pas de temps de séchage. De plus, ces bardages peuvent être utilisés aussi bien pour du neuf que pour une rénovation. Enfin, ils peuvent être posés sur toute construction, qu’elle soit en bois, en béton, en briques ou en pierre.
Pose du bardage : aussi simple soit-elle, la pose du bardage doit obéir à quelques règles. La première d’entre elles est de ménager une lame d’air derrière le bardage afin qu’il soit bien ventilé. D’une épaisseur minimum de 10 mm, elle est généralement équivalente à celle du tasseau (22 ou 27 mm). Et pour mettre cet espace à l’abri de toute introduction de corps étranger, il faudra installer des grilles anti-rongeurs sur les parties hautes et basses du bardage ainsi qu’au niveau des ouvertures.
Lors de l’installation d’un bardage, il faut aussi veiller à éviter toute zone de rétention d’humidité, sans quoi taches et champignons feront leur apparition. Dans le cas de lames à rainure et à languette, cette dernière est toujours dirigée vers le haut. La pose peut être horizontale pour agrandir visuellement la construction, verticale pour donner une allure plus élancée, ou encore oblique.
Entretien du bardage : selon son essence, le bois peut être traité de différentes façons ou laissé brut. Son entretien est ensuite une question de style. Afin de se prévenir de la teinte argentée naturelle due au vieillissement, il faudra protéger le bardage des effets des UV et de l’humidité. Pour cela, il faut appliquer une lasure (translucide), une peinture (opaque) ou prévoir des débords de toiture.
Façade en bois… ou pas
Ce n’est pas parce que la structure d’un bâtiment est en bois que sa vêture doit l’être également. il est aussi possible de faire le choix de revêtements de bardages minéraux, de crépi, de briques, de pierre. Une maison en bois n’impose pas de voir le bois en extérieur.